Tanguy Ortolo
2013-03-04 12:20:47 UTC
Ce week-end, comme j'avais un peu trop froid pour dormir sous tente avec
un duvet, j'ai essayé de le compléter avec une couverture de survie,
face argentée à l'intérieur, comme indiqué sur la notice.
En fait, j'ai passé une nuit sans (donc tente, duvet, pull et pyjama) et
une nuit avec (soit donc tente, couverture de survie, duvet, pull et
pyjama). Je ne sais pas si c'est un usage courant des couvertures de
survie, mais j'ai trouvé cela très peu probant, en effeet :
– la première nuit, réveil à 5h par le froid (suite de la nuit en
position de conservation de chaleur, jambes repliées, ça permet de
se rendormir un peu) ;
– la seconde nuit, avec une couverture de survie en plus donc : pareil,
je n'ai pas remarqué de différence avec la première nuit à vrai dire,
question chaleur en tout cas ;
– en revanche, une différence notable : la couverture de survie étant
étanche, toute ma transpiration s'était condensée au point de mouiller
mon duvet — on ne rigole pas, c'était bien de la transpiration hein.
Bref, je suis maintenant assez sceptique sur l'intérêt des couvertures
de survie, surtout quand on lit sur leurs notices qu'elles permettent de
rester à température corporelle, ou qu'elles réfléchissent 90% du
rayonnement infrarouge qu'on émet…
Ce qui est sûr, c'est que c'est diablement bruyant à déplier, et assez
pénible à ranger… :-)
Des avis là-dessus ?
un duvet, j'ai essayé de le compléter avec une couverture de survie,
face argentée à l'intérieur, comme indiqué sur la notice.
En fait, j'ai passé une nuit sans (donc tente, duvet, pull et pyjama) et
une nuit avec (soit donc tente, couverture de survie, duvet, pull et
pyjama). Je ne sais pas si c'est un usage courant des couvertures de
survie, mais j'ai trouvé cela très peu probant, en effeet :
– la première nuit, réveil à 5h par le froid (suite de la nuit en
position de conservation de chaleur, jambes repliées, ça permet de
se rendormir un peu) ;
– la seconde nuit, avec une couverture de survie en plus donc : pareil,
je n'ai pas remarqué de différence avec la première nuit à vrai dire,
question chaleur en tout cas ;
– en revanche, une différence notable : la couverture de survie étant
étanche, toute ma transpiration s'était condensée au point de mouiller
mon duvet — on ne rigole pas, c'était bien de la transpiration hein.
Bref, je suis maintenant assez sceptique sur l'intérêt des couvertures
de survie, surtout quand on lit sur leurs notices qu'elles permettent de
rester à température corporelle, ou qu'elles réfléchissent 90% du
rayonnement infrarouge qu'on émet…
Ce qui est sûr, c'est que c'est diablement bruyant à déplier, et assez
pénible à ranger… :-)
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Tanguy
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